J'ai grandi dans des draps de soie

Je suis née sans éclaboussure
Regardez-moi, rien ne se voit
Je n'en serai jamais trop sure
De vous a moi je ne sais pas

Mais si je m'en sors
Sans bleu au corps
Etre normale pour etre bien
Effacer quelques lignes de ma main
Et si je m'en sors
Je veux encore sentir la chaleur
De ce beau matin, ensemble, alliés
Contre un drôle de destin

Je ne connais pas le plus dur
Je n'ai pas vraiment de blessures
Sans vous je n'existerais pas
Sans vous je ne me connais pas

De cette histoire ce qui me touche
C'est qu'il n'y a rien à regretter
Quelques silences au fond de moi
Y a des silences et c'est comme ca

Lillygirl, Max, avec tout le temps que vous passez sur meuseuneu, vous pourriez vous concerter, ça éviterai de recevoir les messages internes en double!

Merchi les enfants.

 

Celui de cette nuit:

 

j'étais avec ma mère, on habitait dans un vraiment vraiment immonde petit 3pièces, 4ème étage-balcon (style réfugiés coréens), et elle n'avait plus d'argent (a-han, le cauchemard!) et comble du tout, on venait nous couper le téléphone, et l'internet (rea-han, le recauchemard!).

 

Du coup ma mère me prostituait à des monsieurs plus vieux. C'était gai!

 

Elle me disait que ça m'aiderais à régler mon oedipe (moi pensant que j'étais une fille, j'aurai plutôt dit mon électre, mais, non) à cause de mon père qui nous avait délaissées dans de peu avouables conditions.

 

Puis, je devenais ma mère (la magie des rêves), et je me disais (la préoccupation de la geek(e)), "je vais pouvoir aller sur internet depuis le travail!"

 

MAIS J AVAIS PAS DE TRAVAIL!!! et j'échouais dans des cybercafés glauques.

 

Vous allez dire que le matérialisme bourgissime local déteint sur mon inconcient, mais franchement, quel cauchemard mes enfants!

 

 

 

Ludivine Sagner & Nick Nolte.... je trouve l'idée marvelousse. et belle. aussi.

 

 

 

"ça ouvre à quelle heure la Russie?"